Texte : Joie et générosité - Robert Guelluy


La joie est solidaire de la générosité.
La joie profonde -
qui est compatible avec la souffrance -
est à la fois condition
et fruit du désintéressement :
on n'aime que dans la joie,
on ne connaît la joie
que dans l'oubli de soi.

Par contre, le dégoût de soi emprisonne l'âme :
tout péché est triste et comporte,
plus ou moins explicitement, un "tant pis".
La joie est un devoir fondamental du chrétien ;
pour être chrétien, il faut être capable de bonheur.



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